Intitulé « Financer la IVè révolution industrielle – Lever le verrou du financement des entreprises technologiques », le rapport dresse le constat de la forte dynamique des start-up en France, mais aussi celui de leurs difficultés à se financer à des phases plus avancées de leur développement, c’est-à-dire au niveau du late stage (levées supérieures à 50 millions d’euros) et de la cotation, du fait du manque d’investisseurs spécialisés sur ces segments en France.
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